Batala Massif pour les 10 ans de Batala Portsmouth : quel plaisir de se retrouver !

Photo : Charmaine Bennett

Nous étions 7 de la Bande des "Massifs", à avoir répondu à l’invitation de Batala Portsmouth (Angleterre) pour venir fêter leur 10 ans, en oubliant pas que, quelque part, Massif est né de Portsmouth.

Se retrouver et rejouer à nouveau avec de nombreux autres bataliens vu lors de l’Encontro Massif, à Liverpool ou Notting-Hill, a été formidable.

Quatre d’entre nous on été réceptionnés à la descente du ferry par Nico qui nous a accueillis chez lui durant tout le séjour et nous a servi de guide. Un immense merci à lui pour sa gentillesse, sa patience et son endurance olfactive (voir avec lui l’épisode du camembert).

Les Massifs ont participé, bien sur, aux 2 prestations du week-end, faites dans le cadre de la "Great South Run" (une course annuelle de 10 miles durant laquelle il y avait 22 000 coureurs le dimanche) avec 70 autres "drummers" mais également à la soirée fort sympathique du samedi, dans une boite réservée. (l’initiation à la samba n’a pas été triste !)

Nous avons pu vivre également les joyeuses festivités d’Halloween en jouant le jeu du déguisement. Gaëlle, Marion et Marie-Emmanuelle n’ont rien eu, et de loin, à envier aux sorcières et autres monstres qui déambulaient dans les rues en quête de bonbons.

Cette rencontre a permis une fois encore de superbes échanges entre tous, malgré souvent la barrière de la langue (merci Marie-Emmanuelle, Nico, Huw, Irène… d’avoir servi de traducteurs).

A l’évidence, pour le petit groupe, cette nouvelle rencontre a été forte au niveau humain et musical et prendre le ferry fut une première pour beaucoup.

Ces rencontres sont toujours des moments qui ne laissent pas indifférent. On s’y remplit un peu plus de Mundo Batala, on en appréhende un peu plus la dimension, pour ramener le tout chez soi, dans ses bandes respectives pour le partager avec ceux qu’y n’ont pas pu y aller cette fois.

De nombreuses autres opportunités seront proposées au fil des mois, dont celle, un jour, d’aller à la source du Samba-reggae, à Salvador de Bahia. Pourquoi pas février 2013 ?